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EDITO 

Ötzi est le premier homme tatoué, il possédait 61 tatouages sur tout le corps. Mort il y a plus de 5000 ans, aujourd’hui Ötzi renaît et nous apporte sa culture du tatouage. Rien n’a changé le tatouage est toujours présent. Il est devenu une mode, une tendance, presque une norme. On se tatoue le corps pour recouvrir des cicatrices, pour « faire joli », pour embellir nos sourcils, pour avoir un maquillage permanent, pour sa maman, pour son grand-père, pour son enfant, etc. Le tatouage fait partie de la vie quoiqu’il arrive. Il fait polémique dans les familles, entre mère et fille. Pour certains c’est une drogue, plus rien ne les arrête. Quand on parle tatouages, nous avons toujours une pensée pour Zombie Boy, cet homme connu pour ses tatouages qui recouvraient 90% de son corps. Pour certains le tatouage est un art, pour d’autres il est une abomination. Pour certains il est un numéro, pour d’autres il est l’appartenance à un gang, une tribu. Pour certains il est une pensée, pour d’autres il est juste permanent. Le tatouage c’est tout ça à la fois : des cultures, des générations, des époques, des pays, des pensées, des modes, des accessoires, etc. Le tatouage n’aura jamais la même signification. 

Léonie DUTRIEVOZ

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